Arthur King, de Bartoli et Domestici, fut une expérience inédite et intéressante, qui nous permit de nous mesurer à la bande dessinée mi-teinte. Nous sommes entrés en contact avec eux à la foire de la BD de Lucca, il y a longtemps, attirés par leur banquet. Nous avons mesuré nos capacités avec quelques pages d’essai, et après avoir un peu ajusté le tir ils nous confièrent quelques numéros, que nous nous sommes amusés comme des fous à dessiner.

J’adorais le personnage, et encore plus son compagnon reptile Rex. Le produit était un concentré des éléments  les plus intéressants des BD de série « B », mixés d’une façon brillante et enjouée… Combien d’autres publications  peuvent te permettre de dessiner des centaures aliènes, astronefs, rats mutants géants, mégarobots infantiles, gremlins souterrains et cowboys cyberspaciaux rien qu’en deux histoires ?