Action man, le très célèbre bonhomme de Mattel, a été l’objet d’une initiative éditoriale quelques années avant qu’apparaisse la bien plus ambitieuse série animée, et le hasard a voulu que sa production soit  proposée à Epierre, avec qui nous collaborions activement  en ce temps là. Connaissant ma passion pour les bandes dessinées américaines, ils me proposèrent de dessiner une histoire à titre d’essai, sur les textes du bon Massimo Marconi.